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Le blog Destresse Marketing au centre d’un fait divers gravissime.
L’alcool fait parfois des ravages et pousse à prendre des décisions pour le moins folles.
C’est ce qu’a pu constater Jacques lundi dernier alors qu’il sort d’un apéro « chargé » avec les copains.
De retour à son domicile, le jeune homme décide alors, dans un élan d’inconscience extrême et sous l’emprise de l’alcool, de se lancer à corps perdu dans le décryptage de tous les jeux de mots contenus dans le dernier article de Christian, blogueur sur Destresse Marketing. Reportage.
Le blog Destresse Marketing dans la tourmente
« J’ai vraiment échappé au pire, si c’était à refaire, il est bien évident que je ne retenterais pas une telle folie », c’est en ces quelques mots et le visage rougi par la culpabilité que Jacques commence la discussion avec notre équipe venue à sa rencontre.
Avec le recul, le jeune homme sait bel et bien qu’il a frolé le drame en ce lundi pluvieux du mois de septembre.
Lorsque nous lui demandons pourquoi diable a-t-il pris une telle décision, il s’explique, sans détours ni faux-semblants :
« Je sortais d’un apéro avec les copains au Bar des sports. A un moment j’étais chaud et dans mon délire, je leur ai dit que j’étais capable de lire un billet sur Destresse Marketing et d’en comprendre tous les traits d’humour sans aucun problème.
Quand ils ont éclaté de rire, ça m’a énervé et lorsque je suis rentré chez moi, je me suis mis à la lecture d’un billet pris au hasard sur le blog avec la ferme intention d’en décrypter toutes les vannes, même les plus cachées.
Mon geste était insensé, je m’en rends bien compte avec le recul. »
« Destresse Marketing, c’est des fois un peu dur à comprendre pour moi… »
Et le jeune homme ne croit pas si bien dire : avec près de 27 calembours et autres contrepèteries en moyenne par ligne, le tout avec un accent Belge à y accrocher sa doudoune, son projet était voué à rien d’autre que l’échec.
Il le sait pertinemment mais tente de justifier son accès de folie : « Ca se passait plutôt pas mal, après quatre heures de lutte, j’en étais déjà à la fin du premier chapitre. Je suis sûr qu’avec 3 jours de plus, j’aurais pu atteindre la moitié du billet… »
Visiblement encore sous l’emprise de l’alcool, Jacques ne semble pas pleinement conscient du danger qu’il a fait courir à son organisme.
Le jeune homme semble ignorer délibérément ce qui lui serait arrivé si ses proches n’avaient pas sonné à sa porte ce jour-là pour lui rendre visite, le coupant ainsi dans sa lente mais inéluctable agonie psycho-littéraire.
Contactée par nos soins, Josette, sa soeur, se confie :
« Mon frère est un peu perturbé ces derniers temps, c’est pour ça que nous passons régulièrement lui rendre visite chez lui.
Décider de comprendre tous les traits d’humour d’un billet sur Destresse Marketing témoigne bien de la fragilité passagère de son état mental.
Je vais essayer de le convaincre de consulter mon psy. »
Et lorsque nous la questionnons sur les circonstances exactes du drame qui a failli se jouer lundi dernier dans l’appartement de Jacques, celle-ci renchérit :
« Quand nous sommes arrivés, il avait les yeux presque révulsés et commençait à être pris de convulsions.
Mon mari l’a immédiatement éloigné de son PC et l’a placé en position de survie. Jacques se débattait et hurlait qu’il n’en avait plus que pour 46 heures de lecture.
Il était dans un état second. J’avais jamais vu mon frère comme ça. J’ai vraiment eu très peur. »
Avec le recul, Josette sait bien qu’elle et son mari ont évité le pire à Jacques :
« Je suis moi aussi lectrice du blog Destresse Marketing. J’aime beaucoup mais je suis obligé de lire les billets sur plusieurs semaines à raison de deux lignes par session de lecture. Je garde aussi à portée une boîte de Tranxene au cas où…
Jusque là, tout s’est toujours bien passé. Je touche du bois. »
Elle déplore toutefois le danger que ce blog représente pour le lecteur non averti, d’autant plus qu’aucune mise en garde ni le moindre sigle ne sont présents sur le site.
« Que se passerait-il si des centaines d’internautes tombaient quotidiennement par hasard sur ce site, vous y avez pensé un peu? Heureusement que son référencement naturel est encore plus pourri que celui de Tranches de Marketing… »
« Imaginez qu’un enfant tombe sur un billet de Christian… »
Josette lance donc un appel au CSA : Sans les interdire, elle émet le souhait que les blogs dans le genre de Destresse Marketing mentionnent clairement les consignes de sécurité à adopter avant de se lancer dans leur lecture.
Elle nous explique avoir déjà vu se faire interner deux amis imprudents ayant eu le malheur de tomber par hasard sur la prose de Christian. Elle conclut notre entretien par ces quelques mots :
« Destresse Marketing, c’est comme l’alcool : c’est agréable à consommer mais ça monte vite au cerveau et les effets secondaires sont dévastateurs à long terme. »
De notre envoyé spécial.
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Salut Sylvain,
Attention, alerte rouge, je me suis laissé dire que la protection civile et le Samu ont été informé d’une vague de suicide inexpliquée chez certains blogueurs dont l’ordinateur avait le clavier de l’écran fixé avec frayeur sur un nouvel article de Destresse Marketing dans lequel il semble qu’il n’y que deux mots compréhensible par article.
La sureté de l’Etat se demande dans quelle mesure il ne s’agirait pas d’un message crypté adressé aux rebelles en Syrie et dont il pourrait se servir pour mettre à(pomme de)terre les forces régulières de Bachar-El-Salade.
http://www.destresse-marketing.com/savez-ce-sera-premiere-experience-blogging/
Une nouvelle affaire de légumes bactériologiques ?
On parle de couper momentanément l’accès à Google.
Affaire à suivre.
Un blogueur qui vous veut du bien.
ooooh les fôtes, ça doit être l’émotion face à la gravité de la situation!!!
Merci Christian pour ces nouvelles du front : un nouvel article publié sur Destresse Marketing?!
Oh Pauvre, tous aux abris!
C’est encore le pharmacien en bas de ma rue qui va se frotter les mains… Si tant est qu’il a encore des boîtes d’aspirine dans ses placards 😀 😀 😀
Salut Sylvain,
Crois bien que je partage la douleur de Jacques et de sa famille de dégénérés de leur race.
Je suis surprise sur le gâteau de lire les réactions de ces lecteurs de tête à tartes.
S’ils ne con prennent pas ma prose à deux mains je peux leur filer le lien d’un site sur « oui-oui et le blog magique ».
Et dire qu’il faut se brosser à temps avant de se casser les dents sur les jeux de meaux qui brie sur mon blog c’est taillé trop loin !
J’en ai marre à canard WC con dise que c’est de la merde.
Quand Jacques Brel dit qu’avec un ciel si bas il fait l’humidité (quoi ? L’humilité ? pfuuu, n’importe quoi) tout le monde comprend.
Et moi, quand je parle des tripes à la mode de Caen dira-t-on on se fout de ma gueule en dix ans et Jacques tend, Madeleine, comprends-tu ? (Madeleine, c’est la femme de Jacques).
Moi doit quand même pas écrire comme petit singe pour que toi comprendre !
Si moi dire « comment vas-tu yau de poêle » et que toi pas capable de répondre « et toi ture de zinc », toi effectivement pas devoir venir sur mon blog.
Je précise pour les éventuelles victimes qu’il est inutile de déposer pleinte, le parquet s’en fout (d’ailleurs chez moi, je n’ai que du tapis plein bourré au vin rouge quand je renverse mon verre).
Donc Sylvain, tu sais qu’entre nous c’est plus cul histoire d’amour rire de rire mais je crois que tu as mal choisis tes lecteurs blue ray au pinard.
J’tem -va la cruche à l’eau qu’elle-brasse quand même.
@+
Christian guera tian qu’il ne coulera pas.
Ca y est, je suis bon pour une semaine de Tranxène 😀
Un commentaire comme celui-là, c’est bon à creuser le trou de la sécu de quelques milliards de plus (on est plus à ça près tu m’diras)
Quoiqu’il en soit, c’est une évidence : Destresse Marketing est l’élite du calembour aimant le carambar à Hambourg.
Ca y est, je commence à être atteint… 😀 😀
Je note la vanne des plinthes au parquet, c’est un de meilleures que j’ai lu depuis longtemps 🙂 😀
Cordialisme inter-blogué l’@mi
Sylvain
haha, J’adore 🙂
J’ai lu un article de ce genre ce week-end. C’est un nouvel effet de mode ?
Il faut avouer qu’ils sont vraiment sympa à lire 😉
« On parle de couper momentanément l’accès à Google. »
Tiens ça serai une expérience intéressante ça, 24h sans Google, ou plus particulièrement 24h sans moteur de recherche.
Ah si la blogosphère se mettait à publier des articles dans ce genre, ça serait sympa non?
Samuel s’y est avec brio* dernièrement (non pas Stéphane), à qui le tour?
Histoire de faire de la blogosphère un sacré beau merdier!
Ah? On me souffle à l’oreillette que c’est déjà le cas…
😀 😀
Bah faut avouer qu’entre deux articles présenté plus « sérieux », c’est quand même bien fun et ça détend 🙂
Puis j’y ai appris deux trois trucs intéressants, c’est toujours bon en passant ^^
Bien sûr! Je recommande le blog destresse-marketing de l’ami Christian 😀
C’est juste qu’il faut être en forme avant d’attaquer la lecture de certains billets des fois 😉 😀
Salut Bruno,
Pour l’effet de mode, j’espère que ce ne sera pas qu’un effet 😀
Ca manque de rigolos sur la toile.
@+
Christian.
C’est marrant, c’est un peu l’idée que j’allais essayer de faire passer : la prose des bons littéraires est l’une des cordes sur laquelle jouer pour des stratégies « marketing ». A se demander pourquoi vous n’orientez pas votre branding/profil sur « rédacteur web ». Cela rendrait le e-commerce plus fun, par exemple !
Sans rire, Simon, je me suis déjà posé mille fois la question de savoir comment référencer tout ça.
C’est sûr que si c’est un gars décidé à se plonger dans le blogging, dans les strating « blog » et qui pousse le dernier coup de manettes en regardant « première expérience blogging » sur Google et qui tombe sur mon dernier article, j’ai peut-être pas gagné un membre fidèle…
Alors, quelle stratégie?
@+
Cet article est assez drôle, comme quoi l’alcool fait des ravages, même dans le domaine du marketing!
Je ne connaissais pas du tout Destresse Marketing je vais aller voir ça de plus prêt, s’il fait un aussi grand débat dans les commentaires, il doit en valoir le coup d’œil!
Merci pour cet article, et ce trait prononcé d’humour!
Tu peux y aller les yeux fermés sur Destresse Marketing (oui parce que les garder ouverts, c’est trop dangereux…) 😀 😀
Sinon gaffe, prévois toujours un paquet d’Aspégic à proximité histoire de pas prendre de risques inutiles 😉
😀 😀